Les publications du cercle d’histoire

H I S T    O    G R A M

Morschwiller-le-Bas      Village d’Alsace      1870-1924

Si, de par son titre, cet ouvrage semble d’abord destiné aux habitants de Morschwiller-le-Bas, il se veut suffisamment évocateur du contexte spécifique de notre région pour intéresser un public plus large.

Au-delà du vécu de la Grande Guerre, il est question de retracer la vie de nos aïeux sur l’ensemble de la période de 1870 à 1924 :

– Celle du Reichsland en amont de 1914 où les alsaciens ont été allemands durant 44 ans.

– Celle des témoins de la Grand Guerre, à travers des témoignages locaux replacés dans leur contexte, grâce à l’impressionnant travail d’Albert Baldeck et de Pierre Huther, dans leur livre « Un village alsaciens dans la Grande Guerre ».

– Celle du retour à la citoyenneté française après 1918 jusqu’au soulèvement du peuple alsacien face au Cartel des Gauches.

 

Puissions nous permettre au lecteur de cet ouvrage de se plonger dans ces pans méconnus de notre passé, avec le recul que seul permet le temps.

L’histoire de la première  Compagnie de Transports Automobiles d’Alsace

La C.T.A. (Compagnie de Transports Automobiles) fondée en 1922, fut une des entrepeises les plus emblématiques des transports en commun de la région Alsace. Son histoire a commencé à Morschwiller-le-Bas , mais a rayonné loin au-delà de ses murs.

Avec l’appui des familles de son fondateur, des acteurs et descendants de la C.T.A., le Cercle d’Histoire a conçu une magnifique brochure où sont réunis témoignages, photographies, archives de la cette formidable aventure depuis sa création jusqu’à la cessation de son activité.

La brochure C.T.A. c’est 140 pages de documents exceptionnels chargés de souvenirs et d’émotion : un véritable voyage dans le temps.

Le jardin d’inspiration médiévale de Morschwiller Le Bas

Partez à la découverte du jardin d’inspiration médiévale de notre village.

Dans cette brochure vous trouverez toutes les informations concernant les plantes « anciennes » et la description de nos plessis.

Vous pouvez vous la procurer au prix de 12€.

 

De Saint-Nicolas au Père Noël : Itinéraire d’un mythe

Noël c’était comment avant ?

Saint-Nicolas, Christkindel, mélange de légendes, de rituels religieux, voire de mythologie ancestrale, restent au fil des générations, un facteur de fédération sociale et d’intégration culturelle.

Au-delà de travaux documentaires classiques et fidèles à notre objectif de préserver la mémoire de notre village, nous sommes allés à la rencontre de quelques villageois anciens qui nous ont livré de bon cœur leurs souvenirs.

L’histoire du Sapin de Noël, de l’origine aux traditions

Le Sapin roi des forêts est de toutes les fêtes.

Le sapin a toujours ponctué les évènements religieux et profanes et lorsque a resplendi le premier arbre de Noël, il s’est trouvé tout naturellement que ce fût un sapin.

Cette brochure retrace l’histoire de cet arbre « magique »

Le Steinbächlein : ruisseau aux cailloux

Suivons le cours du Steinbächlein, dérivation de la Doller, qui alimentait les moulins et les usines textiles.

A l’origine  « ruisseau sans source »  le Steinbaechlein  fut petit à petit transformé en un canal artificiel qui naît  d’une prise d’eau de la Doller sur le ban de Burnhaupt-le-Bas, à environ 500 mètres de la Hartackermühle (actuel emplacement des jardins du Paradisvogel).

Puis il quitte les collines pour se diriger vers Mulhouse où le tracé d’une partie de son eau correspond actuellement à celui de la rue Gutenberg et de l’avenue du Président Kennedy. L’autre partie de l’eau du Steinbaechlein coule vers l’est.

Le Steinbaechlein devint au fil des ans un élément très important du développement industriel de la région. Ce dernier desservait en 1768 pas moins de 11 « usines »  jusqu’à Mulhouse, à savoir huit moulins à farine et  trois foulons qui servaient à broyer et à piler les fibres de chanvre.

Au début du XIXème  siècle, les industriels de Mulhouse découvrent l’intérêt du Steinbaechlein, non seulement pour sa force motrice, mais aussi du fait de l’excellente qualité des eaux de la Doller. C’est ainsi que se greffa sur le Steinbaechlein une partie de l’industrie textile de Mulhouse. Dès 1806 on installa une blanchisserie dans le moulin du haut.  On y développait également des activités de teinture et d’impression.

3 moulins furent construit sur le ban de Morschwiller-le-Bas